L'OUVRAGE DE DAVID SERVAN-SCHREIBER, "ANTICANCER, PREVENIR ET LUTTER GRACE A NOS DEFENSES NATURELLES
Le 01 Octobre 2007,« J'ai eu un cancer. Diagnostiqué une première fois il y a quinze ans, j'ai été traité par les méthodes conventionnelles, puis j'airechuté. C'estalors que j'ai décidé de rechercher, au-delà des traitements habituels, tout ce qui pouvait aider mon corps à se défendre. (...) Je vis en pleine santé depuis sept ans. Dans ce livre, je voudrais vous faire le récit de tout ce que j'ai appris ». David Servan-Schreiber, professeur de psychiatrie à l'Université de Pittsburgh à lire
en effet ses principes sont depuis toujours les miens
Mot de l'éditeur
Après le succès de Guérir, David Servan-Schreiber propose dans ce livre une nouvelle vision de la biologie du cancer. Et affirme : pour s'en protéger, il faut aussi faire appel à nos défenses naturelles.
Le cancer fait peur. La médecine occidentale moderne dépiste et soigne cette maladie, mais ne tire pas parti des découvertes récentes qui permettent de s'en protéger. Il y a, en plus des traitements classiques, des comportements à favoriser, des choses à faire, simples, et qu'on ignore trop souvent
L'auteur ne s'appuie pas seulement sur son expérience de médecin et chercheur en neurosciences : révélant son cancer, il raconte son histoire et dit comment il s'est soigné.
Dans un récit à la première personne, David Servan-Schreiber raconte à la fois le choc de la maladie et les approches qu'il a mises en oeuvre pour y faire face. La confrontation avec le cancer apparaît comme une aventure intérieure brûlante. L'auteur revient sur les joies et les peines, les découvertes et les échecs qui font aujourd'hui de lui un homme considérablement « plus en vie » qu'il y a quinze ans. Il espère qu'en les partageant, il permettra à chacun de trouver des pistes pour sa propre aventure. Et qu'elle sera belle.
Expliquées avec la clarté et la force de conviction propres à l'auteur, on trouvera ici des approches pratiques de prévention et d'accompagnement des traitements, tirées des résultats les plus récents de la recherche de pointe
La première partie de l'ouvrage raconte l'aventure scientifique passionnante qui a mené à cette nouvelle vision du cancer. Comme on le verra, cette dernière est fondée sur le rôle essentiel et encore peu connu du système immunitaire, la découverte des mécanismes inflammatoires qui sous-tendent la croissance des tumeurs, et sur la possibilité de bloquer leur développement en empêchant leur ravitaillement par de nouveaux vaisseaux sanguins. Il en découle quatre approches, présentées dans la seconde partie, que chacun peut mettre en oeuvre pour se construire une biologie anti-cancer, à la fois du corps et de l'esprit.
http://www.fmrc.fr/ un site sur cancers
site de David Servan Schreiber
http://www.guerir.fr/magazine/a-telecharger-et-a-imprimer-vous-meme-le-livret-les-reflexes-anticancer-au-quotidien sur son livre "édition 2010"
Des femmes souffrant d'un cancer du sein étendu aux ganglions et qui avaient suivi, en sus de leur traitement conventionnel,
- un programme d'éducation à la nutrition,
- à l'activité physique
- et à une meilleure gestion du stress
ont vu leur mortalité baisser de 68 % au cours des onze années suivantes par rapport à celles qui n'avaient reçu que le traitement conventionnel.
les filles, pensez-y, ne pensez pas que ça n'arrive qu'aux autres
DSS dit : Voici ce que j'ai appris : si nous avons tous des cellules cancéreuses en nous, nous avons tous aussi un corps fait pour déjouer le processus de formation des tumeurs. Il revient à chacun d'entre nous de s'en servir. D'autres cultures que la nôtre y parviennent beaucoup mieux.
Tant que la maladie ne nous a pas frôlé, la vie nous paraît infinie, et nous croyons qu'il sera toujours temps de nous battre pour le bonheur. Il faut d'abord que je décroche mes diplômes, que je rembourse mon crédit, que les enfants grandissent, que je prenne ma retraite... Plus tard je penserai au bonheur. Remettant toujours au lendemain la quête de l'essentiel, nous risquons de laisser la vie filer entre nos doigts, sans l'avoir jamais vraiment goûté.
La c'est moi qui conseille : à méditer....
En France, l'augmentation du nombre de cancers a été de 60% dans les 20 dernières années !!!!!
lu
Cancer du sein: l'impact du mode de vie
AFP
02/06/2010 |
Les gènes n'expliquent qu'une petite proportion des cancers du sein alors que pour la plupart des femmes les facteurs de risque liés au mode de vie restent prédominants, selon des spécialistes.
Traitement hormonal à la ménopause, consommation exagérée d'alcool, grossesse tardive ou absence de grossesse, et obésité font partie des facteurs de risque liés au mode de vie.
Une étude publiée mercredi dans la revue médicale The Lancet visait à déterminer si ces facteurs interfèrent avec une douzaine de variations génétiques fréquentes associées à une faible augmentation du risque de développer un cancer du sein.
L'étude sur 7.160 femmes ayant eu un cancer du sein et 10.196 qui en étaient indemnes, dirigée par Ruth Travis de l'Université d'Oxford (Royaume-Uni), visait à mieux faire la part des choses entre les influences génétiques (très faible risque) et non génétiques (une dizaine relevant du mode de vie et d'autres particulatités comme par exemple une puberté précoce).
Au final, le risque faiblement accru de cancer du sein associé à ces douze variations génétiques courantes n'est pas affecté, ni renforcé, par des facteurs liés au mode de vie comme le traitement hormonal substitutif ou la naissance tardive du premier enfant, notent les auteurs de l'étude.
Ils soulignent toutefois que leur travail n'inclut pas deux gènes bien connus, les gènes BRCA1 et BRCA2, plus rares mais véritablement porteurs d'un haut risque de développer un cancer du sein.
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=tests-genetiques-medecine-personnalisee_20100611&source=bulletin&provenance=