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mincir avec la sophrologiedes règles de bon sens et les lois de l'énergétique chinoise yin yang


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antalgiques

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1antalgiques  Empty antalgiques Sam 11 Déc - 18:02

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moi je dis parler d'akbamax vu ses bienfaits sans inconvénients au contraire sur système digestif
https://minciryinyang.pro-forum.fr/douleurs-articulations-f14/anti-inflammatoire-sans-risque-au-contraire-pour-estomac-intestins-t46.htm#73

Des nouvelles recommandations sur les antalgiques vont être publiées du fait du prochain retrait du Di-Antalvic, cet antidouleur très prescrit contre l'arthrose.

L'arrêt programmé de la commercialisation du Di-Antalvic inquiète particulièrement les personnes souffrant de douleurs chroniques, et notamment d'arthrose. Par quels médicaments antidouleurs efficaces va-t-il être remplacé ? Une chose est sûre : la Commission européenne a confirmé en juin le retrait du marché de tous les antalgiques associant le dextropropoxyphène (DXP) et le paracétamol, au premier rang desquels le Di-Antalvic. Motif avancé : une efficacité discutée et un risque toxique, surtout par surdosage volontaire, observé dans certains pays. L'Afssaps publiera à l'automne des recommandations pour le remplacement de ces spécialités qui ne seront plus disponibles en France à partir de novembre 2011. Un délai fort utile pour gérer en douceur ce retrait, compte tenu de la place acquise en quarante ans par le Di-Antalvic, avec 8 millions d'utilisateurs et 70 millions de boîtes vendues en France chaque année. Ce produit était largement prescrit contre les douleurs modérées à intenses, qu'elles soient aiguës, comme celles liées à une extraction dentaire, mais surtout chroniques, en cas de douleurs rhumatismales.

L'essentiel des substitutions devrait reposer sur les associations paracétamol-codéine et paracétamol-tramadol, qui sont des antalgiques dits de palier 2, comme le Di-Antalgic. «Du fait de ces alternatives, le retrait du Di-Antalvic ne devrait pas poser problème en termes de santé publique : la codéine est un vieux médicament qui fonctionne bien et le tramadol est au moins aussi efficace que le DXP», estime le Pr François Chast, chef du service de pharmacologie à l'Hôtel-Dieu et président de l'Académie nationale de pharmacie.

Même sentiment chez les praticiens les plus concernés. «Le Codoliprane associant paracétamol et codéine m'a toujours semblé plus efficace que le Di-Antalvic, auquel certains patients sont très attachés. C'est donc plutôt lui que je prescris, d'autant que la codéine a moins d'effets secondaires que le tramadol», estime le Dr Dominique L., généraliste en région parisienne. Pour le Dr Pascale Vergne-Salle, rhumatologue au CHU de Limoges, «cette situation ne devrait pas trop créer de difficultés, même si certains patients sont très inquiets. Nous avons plus d'un an pour trouver la substitution adaptée à chacun».

Pour les douleurs aiguës, celle-ci devrait se faire aisément vers les autres antalgiques de palier 2, voire vers des antalgiques de palier 3 (morphiniques) pour les douleurs les plus intenses. La question est plus délicate pour la prise en charge des douleurs chroniques. «Certains patients qui ont une longue expérience positive avec le Di-Antalvic peuvent se trouver déstabilisés, explique le Dr Jean Bruxelle, qui dirige la consultation antidouleur à l'hôpital Tarnier (Paris). L'efficacité du traitement reflète aussi la relation du médecin avec son malade. C'est le médecin, persuadé de l'efficacité du traitement qu'il prescrit, qui convainc le patient de cette efficacité et crée chez lui une attente vis-à-vis du traitement. Si le patient est soulagé, son attente se renforce et induit des mécanismes cérébraux qui accroissent encore l'effet antalgique. Cet effet placebo suscité par le médecin participe au moins pour moitié à l'effet antalgique. Il faut donc préparer ces patients à rompre ce lien parfois fort avec leur traitement, en leur expliquant qu'on va tester avec eux d'autres antalgiques aussi puissants jusqu'à obtenir un effet équivalent.»

Selon l'intensité de la douleur chronique et la dose antérieure, le médecin pourra prescrire du paracétamol seul s'il suffit, ou recourir aux autres associations de palier 2. Ce qui veut dire d'abord réévaluer précisément cette douleur. «Certains patients peuvent s'être améliorés et n'avoir plus besoin de la même dose. À l'inverse, la douleur peut avoir augmenté, par exemple à cause d'un facteur facilitateur, stress, difficulté au travail, etc., survenu entre-temps, qui a rendu insupportable une douleur auparavant tolérée», estime le Dr Bruxelle. Des co-analgésiques comme les antidépresseurs, les anti-épileptiques et les anti-inflammatoires peuvent s'avérer utiles, notamment en rhumatologie. «Mais ajouter un antidépresseur à la prescription ne pourra jamais être la seule réponse pour un patient douloureux chronique déprimé, si on ne l'aide pas aussi à résoudre ses difficultés.»

Quoi qu'il en soit, le retrait du Di- Antalvic laissera chez nombre de médecins le sentiment d'une décision qui ne se justifiait pas. «La raison de cet arrêt reste assez opaque», note le Dr Vergne-Salle. «Nous avons eu le sentiment que le Royaume-Uni et la Suède avaient un peu imposé cette décision à l'Agence européenne du médicament (EMA) en raison des décès par suicide avec cette association observés chez eux, alors qu'il n'y avait rien de tel en France, qui représente pourtant 85 % du marché européen», souligne le Pr Chast. «C'est la Commission européenne qui a décidé ce retrait, sur proposition de l'EMA, précise le Dr Kreft-Jaïs de l'Afssaps. C'est une décision contraignante qui s'impose à tous, même si l'opinion de la France, celle d'un rapport bénéfice/risque qui restait positif dans les conditions françaises, n'a pas changé.»

«Faut-il, insiste le Dr Bruxelle, parce qu'il y a mésusage d'un médicament dans trois ou quatre pays, l'interdire partout ? C'est comme si on voulait unifier les usages thérapeutiques en oubliant que d'un pays à l'autre les pratiques médicales et chirurgicales ne sont pas les mêmes. Or l'usage d'un médicament s'inscrit dans ces pratiques nationales. À médicament identique, les conséquences en pharmacovigilance peuvent donc être différentes selon les modalités de prescription et de délivrance.»



Dernière édition par Admin le Sam 11 Déc - 18:08, édité 1 fois

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